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LA VERITE SUR L'ESCLAVAGE


 
30 questions sur l'esclavage 

 
La � vraie � verite sur l´�Esclavage : l`implication des Juifs. 
 
Message d�Alert2neg adress� � Elkabbach et cie

Bonjour,

Votre m�connaissance, c�est certainement le cas, vous pousse � �mettre des contre-v�rit�s sur certains faits relatifs au commerce n�grier. Vous ne l�ignorez pas, la Traite et l�esclavage constituent un crime contre l�humanit� cf loi Taubira 21 Mai 2001, c�est pourquoi il convient de ne pas entretenir des distorsions, comme nous l�avons constat� dans vos �missions Europe 1  et N..rendez vous m�dicis sur publics�nat. Aussi, nous vous invitons � compl�ter les connaissances de l�historien O.P.G , qui n�a pas compris que son r�le n��tait pas de d�douaner telle partie en chargeant une autre mais de t�moigner de la v�rit� historique.

Nous esp�rons vous rencontrer d�s que possible afin de mener ensemble l�entreprise de d�mystification de la figure caricaturale du Roi N�gre ayant vendu les siens.

Cordialement

Alert2neg alert2neg@hotmail.com



Vente d�esclaves
 

Cette semaine, dans un encart intitul� �  La v�rit� sur l�esclavage  �, Le Nouvel Observateur nous d�forme l�histoire et la remod�le dans le sens des � Lobbies qui n�existent pas �, probablement pour s�attirer les bonnes gr�ces publicitaires de ses sponsors... Les marchands juifs participent-ils � la traite atlantique ? Faux. Et la meilleure preuve qu�il s�agit l� d�une �lucubration sans r�alit� historique figure dans le Code noir , promulgu� en 1685 par Louis XIV. Le premier article de ce texte qui r�glemente l�esclavage aux Antilles, en Guyane et en Louisiane exclut formellement les juifs des territoires concern�s : � Enjoignons � tous nos officiers de chasser hors de nos �les tous les juifs qui y ont �tabli leur r�sidence, auxquels, comme ennemis d�clar�s du nom chr�tien, nous commandons d�en sortir dans trois mois, � compter du jour de la publication des pr�sentes, � peine de confiscation de corps et de biens. A La Rochelle, Nantes   et Bordeaux, de grandes familles protestantes ont en revanche prosp�r� gr�ce au commerce triangulaire.

15�me - 19�me si�cle
Qui sont les n�griers qui am�nent les esclaves noirs en Am�rique du 15�me au 19�me si�cle ? L�information ci-dessous se trouve document�e dans les 4 volumes de Elizabeth Donnan . Ils peuvent �tre trouv�s � la Librairie Nationale de Washington National Library Washington , D.C.) et � la Librairie de l�Institut Technologique de Carnegie � Pittsburg (Carnegie Institute of Technology Library , Pittsburgh, PA.)



 Bateau de n�griers
 

Nom du navire - Propri�taires

Abigail  - Aaron Lopez, Moses Levy et Jacob Franks

Crown  - Isaac Levy and Natham Simpson

Nassau  - Moses Levy

Four Sisters  - Moses Levy

Anne and Eliza  - Justus Bosch et John Adams

Prudent Betty  - Henry Cruger et Jacob Phoenix

Hester  - Mordecai et Davdi Gomez

Elizabeth  - Mordecai et Davdi Gomez

Antigua  - Natham Marston et Abram Lyell

Betsy  - William De Woolf

Polly  - James De Woolf

White Horse  - Jan de Sweevts

Expedition  - John et Jacob Roosevelt

Charlotte  - Moses et Sam Levy ; Jacob Franks

Caracoa  - Moses et Sam Levy

Les marchands d�esclaves et l�Holocauste � n�grier �
1- Les oubli�s de l�histoire

Les Noirs sont toujours les oubli�s de l�histoire, car personne ne s�int�resse � eux. Normal, ils ne poss�dent pas encore de � lobbies qui n�existent pas �, suffisamment puissants pour n�gocier directement de leurs r�parations l�gitimes aupr�s des Etats concern�s.

Alors que l�� industrie m�morielle � se rappelle � nos bons souvenirs quasiment tous les jours de l�ann�e 2005, jour du 60�me anniversaire de la chute du r�gime nazi, qui co�ncide parfaitement avec les 6 branches de l��toile de David et le chiffre des � 6 millions � de � victimes �, personne ne se rappelle des Noirs qui sont bien plus nombreux � dispara�tre de l�esclavagisme qui dure plusieurs si�cles . Deux poids, deux mesures, selon que vous �tes puissant et que vous avez le contr�le des m�dias et des institutions financi�res ou que vous �tes un � N�gre � mis�rable auquel on vous refuse - tel l�humoriste Dieudonn� -, de faire un film sur le Code Noir [j�emploie d�autant plus volontiers ce terme qu��tant n� au S�n�gal - j�y compte encore de tr�s nombreux amis d�enfance et qu�une partie de mon c�ur y est rest� -, ce mot me permettant de r�veiller les consciences endormies et d�insister sur ce vocable insultant qu�emploie les Nazis et certains colonisateurs]. A ce sujet, l�association � Euro-Minorit�s �  que je pr�side, �tudie actuellement les aspects juridiques avec diff�rents avocats pour voir comment il est possible d�obtenir une r�paration, symbolique et morale - car il est hors de question de s�abaisser au m�me niveau que d�autres, qui font payer en argent sonnant et tr�buchant le nombre des cadavres -, pour cet inf�me �pisode de notre histoire.



Torture et mise � mort
 

2- Les � N�griers �

Les � N�griers � sont �troitement li�s � l�un des plus grands g�nocides de l�humanit� qui concerne l�esclavagisme : le g�nocide des Noirs. Tout comme il est vain de faire un d�compte morbide de la seconde guerre mondiale, il est tout aussi inutile d�en faire un en ce qui concerne le nombre de victimes de ce tragique �pisode, laissons les morts reposer en paix et ne les tuons pas une seconde fois. Un certain nombre de marchands participent directement � toutes les �tapes de ce g�nocide : dans le choix des � produits �, le transport dans leurs � gal�res � sp�cialement am�nag�es et qui n�ont rien � envier aux camps de concentration nazis [...], la gestions des � march�s aux ench�res � de leurs � produits �, ainsi qu�� leur achat pour l�utilisation � des fins personnelles. Des recherches entreprises par un certain nombre d�historiens de confession juive prouvent aujourd�hui que ces � n�gociants � sont impliqu�s de mani�re totalement disproportionn�e - compte tenu de l�importance de leur groupe ethnique -, par rapport aux autres groupes qui en font �galement commerce. L�immense fortune de ces marchands, ainsi que ceux qui font de l�esclavagisme leur commerce, est obtenue par la � traite des Noirs �, du fait de leur couleur de peau, ce qui est aujourd�hui consid�r� comme un acte violemment raciste.

On peut se poser en effet la question � pourquoi les Noirs � ? La raison en est fort simple. Au d�but de l�invasion de l�Am�rique du Sud, les Indiens sont initialement pris comme esclaves. Mais ils se rebellent, ce qui �videmment pas bon pour les affaires, et meurent lorsqu�ils sont d�tenus, hors de leur environnement. C�est alors que les commer�ants, jamais � court d�inspiration, voient dans les Noirs d�Afrique un excellent � produit �, docile et robuste [les th�ories de Darwin s�appliquent durant le transport et il ne reste que les meilleur � l�arriv�e...].

2.1- Retour Historique

Mais on retrouve des traces de l�esclavagisme par les � N�griers � juifs qui en sont les pr�curseurs, d�j� � la fin du 6�me si�cle. Lady Magnus  �crit qu�au Moyen-�ge, les principaux acheteurs d�esclaves se trouvent parmi les Juifs. Elle �crit � A l��poque du pape Gr�goire le Grand, [590-604], les Juifs deviennent les plus grands n�gociants dans ce genre de trafic � [source  : Lady Magnus, Esquisses d�histoire juive, Outlines of Jewish History, revues par M. Friedlander Philadelphie : Jewish Publication Society of Amenca, 1890, p. 107 ; Jewish Encyclopaedia, New York & London : Funk and Wagnalls Company, 1905 -1916), vol. 11, p. 402]. L�auteur juif (et sioniste) Julius Brutzkus indique � d�j� au 10�me si�cle, les Juifs poss�dent des mines de sel � Nuremberg. Ils font du n�goce d�armes et exploitent les tr�sors des �glises. Mais leur grande sp�cialit� est... l�esclavagisme �. L�encyclop�die juive indique � les premiers Juifs que rencontrent les Polonais sont certainement des n�gociants, probablement des marchands d�esclaves, appel�s au 12�me si�cle les Holekhei Rusyah Voyageurs vers la Russie) �. Enfin, Isra�l Abrahams note qu�au 12�me si�cle � les Juifs espagnols [Marranes] doivent leur fortune au n�goce d�esclaves �. Mais Henry L. Feingold note qu�en 1460, lorsque les Juifs deviennent les Ma�tres des sciences nautiques au Portugal, l�Etat ib�rique importe entre 700 et 800 esclaves par an [source : Henry L. Feingold, Le Sionisme en Am�rique : L�exp�rience juive du temps des colonies jusqu�� ce jour - Zion in America : The Jewish Experience from Colonial Times to the Present (New York : Twayne Publishing, Inc., 1974), pp. 42-3]. Le succ�s de ces marchands m�di�vaux est accru par leurs talents linguistiques. Ils parlent l�arabe, le persan, le romain, le fran�ais, l�espagnol et le slave. Par ailleurs, ils poss�dent une vue des affaires toujours en avance sur leur �poque qu�il faut leur reconna�tre.. Marcus Arkin, l�auteur des Aspects de l��conomique historique juive - Aspects of Jewish Economic History (Jewish Publication Society of America, 1975, pp. 44-5), nous r�v�le que les n�gociants juifs, dans certaines pays europ�ens � ont un monopole du commerce international  �, tant et si bien que les termes � Juif � et � marchand � apparaissent comme des synonymes dans les documents carolingiens, ce que confirme �galement Lady Magnus dans son livre, p. 152.

2.2- Christophe Colomb ouvre la voie

Le 2 ao�t 1492, plus de 300.000 Juifs sont expuls�s d�Espagne, mettant �galement fin � leurs cinq si�cles d�implication dans l�esclavagisme dans cette r�gion . En fait, les documents historiques prouvent que certains d�entre eux amassent des fortunes consid�rables avec des esclaves chr�tiens et occupent des postes de premier plan dans la hi�rarchie espagnole. Les circonstances �conomiques les r�unifient au sein d�une coalition de ravisseurs d�esclaves. Peu de temps apr�s l�expulsion des Juifs d�Espagne, Christophe Colomb, dont le nom est en r�alit� Cristobol Colon, embarque un groupe de r�fugi�s juifs avec lui vers le nouveau monde (source : Max J. Kohler, Luis De Santangel and Columbus, PAJHS, vol. 10 (1902), p. 162). Dans son journal, Colomb lui-m�me attire l�attention sur la co�ncidence de ce premier voyage avec l�expulsion des Juifs d�Espagne dans le passage suivant : � Apr�s avoir expuls� les Juifs de son Empire, son Altesse, le m�me mois de janvier m�ordonne de voguer vers les dits territoires des Indes �. La reine Isabelle signe le d�cret quasiment le m�me jour que Colomb commence son voyage. George Cohen, parmi les nombreux historiens juifs, pr�cise que de nombreux Juifs fortun�s financent l�exp�dition de Colomb. L�histoire des bijoux d�Isabelle n�est fond�e sur aucun fait, mais rel�ve plus du mythe destin� � glorifier la reine.

Trois marranes participent financi�rement � cette aventure :

  Luis de Santagel (ou Santangelo) [le premier d�cret royal pour exporter du grain et des chevaux vers l�Am�rique est accord� � Luis de Santangel qui est reconnu comme �tant le fondateur des plus grandes industries am�ricaines (source : Cecil Roth, L�histoire des Marranes - History of the Marranos, Jewish Publication Society of America, 1932, pp. 272-73)]. L�historien Kohler, dans son livre � Colomb �, p. 159, nous cite une anecdote croustillante : � c�est un fait historique qu�un jour Ferdinand V, souhaitant de l�argent, s�arr�te � la maison de Santangelo � Calatayud, pour y obtenir une somme consid�rable �. � A cette �poque, ni Ferdinand, ni Isabelle, n�ont � leur disposition suffisamment d�argent pour armer une flotte � (p. 75). 

  Gabriel Sanchez, �galement cit� par Kohler dans son livre ci-dessus, p. 160, nous indique � c�est un n�gociant ais� �.

  Le tr�sorier royal et son assistant Juan Cabrero influencent la reine Isabelle pour les aider � financer le voyage de Colomb. Cabrero et Santangel investissent 17.000 Ducats [soit certainement plus que 150.000 Euros de nos jours]. De m�me u�Alfonso de la Caballeria et Diego de Deza fournissent �galement des fonds. Abraham Ben Samuel Zacuto fournit, quant � lui, les �quipements d�astronomie et de navigation et Isaac Abravanel l�assiste. Six Juifs en vue accompagnent Colomb dans son p�riple , parmi lesquels on retrouve : Mastre Bernal, un scientifique ; Marco, a chirurgien ; Roderigo Sanchez, un inspecteur ; Luis de Torres, un interpr�te ; et Alfonso de la Calle comme marin. Torres s�installe � Cuba et il devient celui qui introduit le tabac en Europe, export� de ses vastes plantations. La relation entre les Juifs et la d�couverte de l�Am�rique n�est pas une co�ncidence fortuite. L�exp�dition de 1492 n�est que le r�sultat d�une entreprise essentiellement juive ou marrane. 

2.3- Colomb est-il un marchand d�esclaves ?

Sir Arthur Helps �crit que dans ses lettres, Colomb parle � de ses habitudes de pratiquer la traite d�esclaves �. En 1498, ses cinq navires ram�nent 600 Indiens en Espagne comme esclaves. 200 sont donn�s aux capitaines des navires et 400 sont vendus. Colomb emploie �galement la main-d��uvre des esclaves avant m�me de s�embarquer vers le nouveau monde. Il participe � la cr�ation d�une colonie � San Jorge El Mina, situ�e au Ghana, en Afrique de l�ouest. Au nouveau monde, Colomb force les Indiens en esclavage pour trouver de l�or qui est son objectif. Il n�en ram�ne que l��quivalent de 6 millions d�Euros en 20 ans, au prix de la vie d�un million et demi d�Indiens, soit tr�s exactement 4 Euros par vie humaine ! Que Christophe Colomb soit Juif ou pas, comme le proclame de nombreux historiens juifs, il n�en demeure pas moins que ses exp�ditions sont financ�es par des investisseurs juifs. Les joyaux de la reine Isabelle ne sont qu�un mythe, mais les Marranes sont bien r�els !



Torture
 

3- L�esclavagisme des colonies d�Am�rique du Sud et des Cara�bes

Les n�gociants d�esclaves juifs fournissent des Noirs par dizaines de milliers vers les plantations d�Am�rique du sud et des Cara�bes. On ne retrouve plus aujourd�hui de trace �crite de protestation contre ce comportement. C�est alors une affaire purement commerciale dans laquelle la religion n�intervient nullement. Daniel M. Swetschinski estime que la part des n�gociants juifs dans les affaires internationales est alors disproportionn�e. Ils repr�sentent 75% des affaires mercantiles alors qu�ils ne constituent que 10% de la population. Cette domination du march� des esclaves les met en position d��quilibre avec les autres communaut�s. Les planteurs de sucre au Br�sil utilisent abondamment cette main d��uvre d�esclaves d�Indiens et de Noirs, fournie par les n�gociants juifs. Dans les ann�es 1600, les plantations qui constituent la majeure partie du r�servoir d�esclaves avec quasiment 10.000 Africains et l�exportation du sucre raffin� est dans les mains des n�gociants juifs. La compagnie hollandaise d�Inde de l�ouest est cr��e en 1621 dans le seul but de gagner de l�argent. Les Juifs investissent massivement dans l�entreprise qui se destine � toute forme de commerce, y compris l�esclavagisme. Les dirigeants hollandais, en faisant la promotion du d�veloppement �conomique, encouragent ainsi les Juifs � �migrer [tr�s astucieux...] et la Hollande devient tr�s rapidement le centre du pouvoir et de la fortune juive. Marcus Arkin �crit � depuis le d�veloppement des industries dans lesquels les Juifs investissent : tailleurs de diamants, sucre, soie, textiles, le m�lange du tabac, denr�es alimentaires,...) sont d�pendantes des colonies, il n�est nullement surprenant que de retrouver les Juifs d�Amsterdam concern�s par le commerce vers l�Asie et le nouveau monde.

Au 18�me si�cle, environ un quart des participations dans les compagnies internationales hollandaises sont d�tenues par des Juifs et son d�clin am�ne ensuite la ruine de la plupart des familles ais�es �.

Le chercheur juif Arnold Wiznitzer est beaucoup plus explicite concernant l�implication des Juifs au Br�sil  : � A part leur position importante dans l�industrie sucri�re, ils dominent le n�goce des esclaves . De 1636 � 1645, un total de 23.163 N�gres [dans le texte] arrivent d�Afrique et sont vendus pour 6.714.423 Florins [soit environ 290 Florins par individu, tel est le prix de la vie humaine d�un Noir � l��poque...], Les acheteurs, lors des ventes aux ench�res �taient tous Juifs et du fait de ce manque de comp�tition dans le n�goce d�esclaves, ils �taient achet�s � vil prix. Par ailleurs, il n�existait pas non plus de comp�tition pour l�achat des esclaves qui �taient pay�s � cr�dit jusqu�� la prochaine saison de vente du sucre. Si les ench�res avaient lieu un jour de f�te juive, elles �taient automatiquement report�es. �. Moshe Kahan d�clare sans m�nagements qu�en 1653-1658, � les n�gociants Juifs-Marranes poss�daient le contr�le du commerce espagnol et portugais , donc d�tenaient quasiment le contr�le du commerce levantin...avaient d�importantes sommes d�argent � leur disposition �. Seymour B. Liebman dans le New World Jewry (Nouveau Monde Juif), indique clairement que � les navires n�appartiennent pas seulement aux Juifs, mais sont command�s par des capitaines juifs avec des �quipages compos�s de Juifs �. 



Torture
 

4- L�esclavagisme aux Etats-Unis

L�esclavagisme aux �tats-Unis commence avec la conqu�te du nouveau monde. Les navires effectuent alors un triangle entre l�Europe, l�Afrique et les Am�riques. Ils vendent des produits manufactur�s en Afrique, prennent des esclaves � destination du Br�sil, des Cara�bes ou des Etats-Unis et reviennent en Europe avec du sucre et d�autres mati�res premi�res. C�est l�art de l�optimisation des investissements dans lequel on peut rendre hommage au g�nie cr�atif en affaires des Juifs. Durant quasiment 4 si�cles des millions d�Africains sont � export�s � vers les Am�riques. Durant le 18�me si�cle, les Juifs participent activement dans le n�goce d�esclaves. Certains Juifs contr�lent m�me les march�s o� sont fix�s les prix, telle une denr�e ! Mais on assiste �galement � des histoires �mouvantes de romantisme. C�est ainsi que Aaron Levy, le fondateur de Aaronsburg en Pennsylvanie, ach�te Rachel, une esclave noire, dans le milieu des ann�es 1780 et l�emm�ne � Philadelphie. Il la lib�re, l��duque et l��pouse. Elle repose d�sormais dans le cimeti�re Mikve Isra�l, � proximit� de la tombe de Hayim Salomon, le financier de la R�volution am�ricaine (cf 1776). En 1793, Eli Whitney invente le fil � coton et c�est l�envol des plantations de cette mati�re premi�re consommatrice de main d��uvre, plus particuli�rement d�esclaves bon march� qui fait exploser le march�. L�un des nombreuses �tudes effectu�es par Ira Rosenwaike, publi�e par l�American Jewish Historical Society (Soci�t� d�histoire juive am�ricaine), montre que 75% des Juifs du sud des Etats-Unis poss�dent des esclaves noirs [avant l��lection de Lincoln], alors que seuls 36% des Blancs en ont. 

Le Rabbin Isaac Meyer Wise , l�un des champions de la r�forme lib�rale juive et le plus actif de tous les Rabbins aux Etats-Unis au 19�me si�cle, soutient activement l�esclavagisme des Noirs, appelle Abraham Lincoln un � imb�cile � et argumente que les Noirs sont des � b�tes accablantes � [Rappelons que Lincoln est l�un des rares pr�sidents am�ricains qui n�est pas �lu avec les voix des Juifs, car il s�oppose � l�esclavagisme et lorsqu�il est �lu en 1860, il l�abolit imm�diatement, ce qui d�clenche la guerre de s�cession]. En 1896, un �ditorial dans le Jewish South de Richmond, en Virginie, argumente que les � N�gres [dans le texte] sont intellectuellement,moralement et physiquement une race inf�rieure - un fait que personne ne peut d�nier � et, lors de la mort du s�nateur [Juif] du Maryland, Isador Rayner, un journaliste noir �crit que Rayner � �voque aupr�s de ses voisins de couleur les terreurs des pogroms �. Lorsque le B�nai B�rith et l�ADL (Ligue anti-diffamation) - organisme contr�l� par les � lobbies qui n�existent pas �, l��quivalent de la LICRA (Ligue Internationale contre le racisme et l�antis�mitisme) en France - publient leur pamphlet, en 1976, intitul� � Les Juifs am�ricains : leur histoire �, sur les 13 pionniers juifs am�ricains, 10 d�entre eux sont li�s au n�goce de l�esclavagisme ... [comme quoi, plus vous �tes esclavagiste, raciste et antis�mite et mieux il est pr�f�rable d�adh�rer � ce genre d�organisation pour vous donner bonne conscience...] Du reste, les quotidiens suivants : The San Francisco Chronicle, The San Francisco Examiner, The Los Angeles Times et d�autres encore, r�v�lent depuis de nombreuses ann�es qu�aux Etats-Unis, l�ADL pratique l�espionnage et constitue des dossiers sur 950 organisations et 10.000 individus dont la plupart sont des groupes de Noirs, y compris la c�l�bre NAACP (National Association for the Advancement of Coloured People ou Association nationale pour l�avancement des personnes de couleur), fond�e en 1909 par des groupes de militants multiraciaux. Le G�n�ral isra�lien Moshe Dayan ne dit-il, voici quelques ann�es, pas que les forces militaires am�ricaines se d�gradent parce qu�elles sont compos�es de Noirs � avec peu d�intelligence et aucune �ducation �. Il insiste alors pour que les Etats-Unis recrutent � du sang neuf et de meilleurs cerveaux �. Il est consid�r� comme un h�ros dans son pays ! Lorsqu�on leur relate ces faits, certains contradicteurs argumentent sur des points qui pr�tent volontiers � sourire.



Liquidation pendant le voyage
 

En voici deux :

  le premier, que les n�gociants juifs sont contraints par les Chr�tiens de devenir des marchands d�esclaves et effectuer le � sale boulot � pour leur compte ;

  le second, que sans ces marchands, le nombre de victimes, en particulier de la faim, serait encore plus catastrophique !

J�en oublie un dernier, qui correspond � celui qu�ils utilisent en dernier ressort, lorsqu�ils ne trouvent plus d�arguments solides : c�est faire preuve d�antis�mitisme que de relater ces faits, car ils ne sont pas repr�sentatifs de la religion juive [nous sommes bien d�accord sur ce point, il ne faut pas g�n�raliser] et ils ne sont pas les seuls � faire ce genre de commerce [nous sommes �galement bien d�accord sur ce point aussi, ce qui n�exon�rent pas les autres !]. Il n�en demeure pas moins que le mot magique � antis�mitisme � est l�ch�, celui qui fait taire tous les journalistes et ram�nent dans le rang de la � pens�e unique � tous les Pr�sidents et membres des gouvernements.

Est-ce de la diffamation que de d�noncer ce g�nocide afin qu�il ne se renouvelle plus ?Non ! C�est une d�finition

Infos relay�es par ETILE Ren�-Louis
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R�f�rences bibliographiques: 

Aucune.

Discussion
2005-03-13 05:44:25 par Jailess

Tr�s interessant... Merci africamaat. le mot d�ordre c�est l�UNIT�, le reveil a commenc�, les consciences s�eveillent, j�espere que notre peuple va retrouver son unit�.

D�autre part, on trouve des choses etranges sur le net en rapport avec les objectifs sionistes... en particuliers un bouquin : "Le protocole des sages de Sion" c�est vraiment effrayant, que tous ceux qui ont le temps lisent ces protocoles et fassent le parralele avec les evenements qui ont pu avoir lieu depuis l�ecriture de ce bouquin(1897).

voir http://www.holywar.org/txt/protocoll.htm

des protoles qui ne sont pas loin de la r�alit�.

http://www.desinfos.com/article.php ?id_article=1594

2005-03-12 18:35:18 par Cours d�histoire

Je cite Danielle P�trissans-Cavaill�s in Sur les traces de la TRAITE DES NOIRS � BORDEAUX, L�Harmattan, 2004 : page 53 " Saugera a identifi� pour le 18 �me si�cle 146 armateurs ayant arm� en traite... Il souligne par ailleurs la diversit� dans les origines de ces armateurs, souvent venus d�une autre r�gion (c�te atlantique ou int�rieur des terres) voire de l��tranger. Ils appartiennent � l�une ou l�autre des 3 religions pr�sentes � l��poque et si les alliances pour le mariage se font de pr�f�rence au sein du groupe religieux, Il n�y a pas d�intol�rance ou de cloisonnement en affaires. D�ailleurs les r�gles �tablies sont contournables, Bethmann, �tant �tranger ne pouvait armer pour les �les, mais put financer les exp�ditions qui s�y rendaient, Gradis, pour service rendu au Roi en ravitaillant le Canada lors de la guerre de 7 ans, devint propri�taire aux Antilles, alors que les juifs, par principe, ne pouvaient poss�der en terre chr�tienne. Pourtant il advint qu�on refuse l�anoblissement au protestant Nairac, faveur pr�cedemment accord�e � Couturier et � Laffont de Lad�bat, autres protestants... La place des femmes dans les affaires commerciales �tait primordiale. Elles apportent de belles dots � leurs maris qui les consultent et leur confient la gestion de leurs affaires quand ils voyagent. En cas de veuvage, elles prennent les responsabilit�s, comme les veuves O�Quin ou Draveman."

2005-03-12 13:28:06 par Gbess

Cet article est une ref�rence, un pr�cieux document pour �duquer la communaut�, mieux, une b�n�diction qui pr�dit des jours meilleurs � la Renaissance Africaine.

J�ai une cascade de remerciements � faire : 
  A tous nos savants Africains, Africains am�ricains, Carrib�ens(Kemet vous dit merci !) 
  A tous les historiens quels qu�ils soient(ils sont tr�s utiles sans le savoir) 
  A Pr Emeagwali, the father of the internet(www.emeagwali.com) 
  A Africamaat.com dont le contenu vaut tous les cursus universitaires traitant de notre Renaissance. Merci JPO et les autres ;.) 
  A R.L. ETILE pour ce partage...Akeva !(Merci au Cameroun) 
  A nous tous pour le courage dont nous faisons preuve. PLI FOSS !

LA MEUTE INTELLECTUELLE KAMITE EST LACHEE !

2005-03-11 18:09:51 par Noir�b�ne

L�Institut Africamaat pourrait exiger un droit de r�ponse au Nouvel Obs pour r�tablir la v�rit� ! L�ignorance est un grand danger !

2005-03-11 16:51:31 par quelqu'un

Une fois de plus merci. J�ai suivi l�entretien de Elkabbach avec le fameux historien OPG un matin en voiture, j�ai failli faire un accident. Merci de retablir la v�rit�. BON COURAGE.

2005-03-11 11:22:24 par Feuvi > Baoule/arawak

Cette article est tout simplement accablant.

2005-03-11 10:49:39 par quelqu'un

bonjour africamaat et merci pour le travail que vous faite .Il est claire que les noires doivent connaitrent leur histoire ,mais ce qui est domage, tres peu de noires connaissent ce site .Dans mon travail je fait de la pub pour vous ,il faudrait trouver un moyen qui permetera � la commmunaut� de connaitre le site afin d�avoir le plus de connaissance .paul

2005-03-11 10:41:49 par Bangoura

IL se disait l�homme le plus faible des hommes, le plus innoncent, le plus sensible, le plus qui a connu des atrocites, le plus intelligent, le plus malin, le plus de tout mais t�es vu... vu dans ton coeur, ton ame et ton corps. Dois je donne raison a Hitler ?! mais non...je ne suis pas comme toi blanc du coeur(mauvais) parce que mon ame nne m�amene a tes atrocites donc je dis qu�Hitler a tort mais une question ? Pourquoi en veux tu tant aux negres ??? parce que tu sais que ce tu possede appartient a ce negre.On se souvient de ton passage sur notre sol Kemet comme le dit si bien le frere SIM Mi NSONKON R�my dans le site kemet http://www.kametrenaissance.com/Sim-doc14.html (Les �l�ments du Kwanzaa et de la M�norah du peuple H�breux proviennent des Sciences exactes et de la religion des Kamet de l�Antiquit� �gyptienne. Les H�breux ont int�gralement copi� ses �l�ments lors de leurs s�jours en Egypte) Tu te cherche en ce negre mais ne te trouve toujours pas alors la haine.Un ami me disait : je pense que c�est la malediction de dieu qui frappe le peuple juif parce que t�as vole ce qui ne t�appartient pas alors ta souffrance perpetuelle.

L�ignorance tue de tel point qu�il faut un juif pour eclairer certains meme de nos freres et seours parce que cette verite doit etre dite (obligatoirement) par un juif ou un blanc pour qu�ont l�accepte.Quel degat mental..........

A nos freres historiens merci pour ce combat mene qui n�est reconnu que peu de nous mais ce vous demande avec amour et respect de n�est jamais baisses les bras et de porte tout haut votre courage et honneur aux peuples noirs. Il faut avoir du courage de dire la verite et en mourrir dans l�honneur que de fuire la verite et mourrir et hop aux oubliettes. Merci infiniment aux freres africamaat.com , http://www.kametrenaissance.com/,http://www.asante.net/ ainsi que tous les autres freres et soeurs qui de loin ou de pres menent ce combat pour une generation future kemete ...oui pas pour nous mais pour nos futurs parce que d�autres en ont fait pour nous alors a nous maintenant de mener cette epee aussi lourde qu�elle soit.

Merci a ce Mr pour votre courage et honnetete.

Bangoura

2005-03-11 06:38:57 par Chabine

Alain FINKIELKRAUT montre tout son m�pris pour Dieudonn� (ce n�est pas nouveau, c�est m�me son obsession) mais �galement vis � vis des Antillais (les masques tombent). Ecoutez l��mission du 6 mars, c�est �difiant.

Voil� la lettre que je lui ai adress�. Ne tombez pas dans le pi�ge de l�antis�mitisme primaire, tendu aux Noirs pour discr�diter nos luttes l�gitimes. Mais faites-vous respecter. Faites passer.

Lettre envoy�e ce jour � Mr FINKIELKRAUT, suite � ses sorties sur l�agression de Dieudonn� en Martinique 


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Mr FINKIELKRAUT, lors de votre �mission du 6 f�vrier dernier, dans l��mission "Qui Vive" de 13H30 � 14H00 sur Radio RCJ Radio Communaut� Juive, vous avez d�clar� : "Dieudonn� en a profit� [de l�agression par "trois jeunes juifs"] en Martinique, mais peut-�tre n�aurait-il pas eu besoin de cela, pour jouer deux soirs de suite � guichet ferm� devant une foule surexit�e, voila, et victimes, antillaises, de l�esclavage... qui vivent aujourd�hui de l�assistance de la m�tropole, mais passons..."

Permettez-moi de vous apporter quelques petites pr�cisions au sujet de vos d�clarations sur cette antenne :

  Le spectacle de Dieudonn� �tait d�j� complet avant l�agression, et se jouait � guichets ferm�s. Personne n�a forc� les citoyens martiniquais � acheter des billets. Peut-�tre devriez-vous vous interroger sur l�audience spontan�e qu�a pu trouver Dieudonn� sur n�tre �le (mais votre allusion � sa population "victime de l�esclavage" semble indiquer que vous �tes sur la bonne voie)

  Initialement, il n�y avait qu�un spectacle pr�vu le 2 mars. C�est l�agression raciste du 1er mars qui a conduit Dieudonn� � prolonger son s�jour, et qui a rendu possible la tenue d�une seconde repr�sentation exceptionnelle. Personne n�a forc� les spectateurs � acheter les billets non plus.

  Votre commentaire un tant soit peu m�prisant laisse entendre que ses spectacles se sont d�roul�s dans une atmosph�re quasi-insurrectionnelle, devant une "foule surexcit�e". Le black out orchestr� autour de ces �v�nements vous aura probablement emp�ch� de disposer d�une information appropri�e. Je vais donc vous rassurer en vous signalant que les spectacles se sont tenus dans une salle climatis�e, d�environ 1000 places assises, les spectateurs �taient assis, du d�but � la fin du spectacle, et ne se sont lev�s que pour applaudir � la fin, de fa�on tout � fait civilis�e. Aucun d�bordement n�a �t� signal�. Les mesures de s�curit� exceptionnelle prises par la Pr�fecture ont parfaitement fonctionn�, elles avaient d�ailleurs principalement pour but de prot�ger l�artiste, suite � son agression la veille sur la parking d�une cha�ne de TV, par des extr�mistes fich�s par les RG (information aimablement communiqu�e par Proche.Orient.info). La situation en Martinique est totalement sous contr�le, la civilisation est sauve en ces contr�es lointaines et hostiles, rassurez-vous !

  Quant � vos propos sur le caract�re � assist� � de la population antillaise, bien que j�aie du mal � saisir le rapport avec le sujet, je suis ouverte � toute discussion sur votre conception des choses, je ne doute aucunement de l�existence d�arguments d�ments chiffr�s et �tay�s de votre part sur cette question, maintes fois rebattue et constituant un clich� ind�crottable dans l�opinion publique nationale.

Comme vous pouvez le deviner au ton de ma lettre, je ne tomberai pas dans le pi�ge grossier de l�opposition des communaut�s impliqu�es dans ces �v�nements, et dans lequel une certaine presse voudrait faire basculer la communaut� afro-antillaise. Les agresseurs de Dieudonn� ne repr�sentent, aux yeux de la communaut� antillaise, qu�eux-m�mes et leur b�tise (car il vaut mieux avoir un peu r�fl�chi avant de commettre ce type d�agression raciste dans la patrie d�Aim� C�saire, p�re de la n�gritude, et de Frantz Fanon, th�oricien de la d�colonisation), et en aucun cas leur communaut� religieuse, malgr� leurs liens av�r�s avec certains mouvements extr�mistes. L�absence totale de " riposte " antis�mite en Martinique, malgr� l��moi consid�rable provoqu� par cette agression, montre bien que, contrairement � ce qui se passe r�guli�rement sur le continent europ�en, et particuli�rement en France, les Antillais ne font pas d�amalgames et ne versent pas dans les affrontements communautaristes. Franchement, Mr Finkielkraut, pouvez-vous me faire �tat de profanation de cimeti�res ou de lieux de culte juifs aux Antilles ? Les actes antis�mites intol�rables et en forte recrudescence sur le territoire fran�ais depuis quelques ann�es sont-ils le fait des communaut�s noires ? L�antis�mitisme fortement ancr� dans l�histoire de France nous est-il imputable ? Soyons s�rieux !

Pour ma part, je ne verse pas dans cette supercherie. Je pr�f�re vous renvoyer � l�analyse de Frantz FANON, qui, dans � Peaux Noires, Masques Blancs � (chapitre 6) , ne s�en laissait pas compter non plus :

� De prime abord, il peut sembler �tonnant que l�attitude de l�antis�mite s�apparente � celle du n�grophobe. C�est mon professeur de philosophie, d�origine antillaise, qui me le rappelait un jour : � Quand vous entendez dire du mal des Juifs, dressez l�oreille, on parle de vous �. Et je pensais qu�il avait raison universellement, entendant par l� que j��tais responsable, dans mon corps et dans mon �me, du sort r�serv� � mon fr�re. Depuis lors, j�ai compris qu�il voulait tout simplement dire : un antis�mite est forc�ment un n�grophobe. �

Chacun peut penser ce qu�il veut de l�affaire Dieudonn�, il y a une justice, elle a d�j� tranch� � 17 reprises en sa faveur, elle tranchera dans les semaines � venir, et sur les poursuites engag�es suite aux r�cents PROPOS qu�il a tenus, et sur celles cons�cutives aux COUPS qu�ils a re�us ici (ce dernier fait semblait vous �mouvoir nettement moins, tout comme l�opinion publique nationale).

De gr�ce, recentrons le d�bat. J�ai un infini respect pour la m�moire de la Shoah. Elle me semble n�cessaire et indispensable. Je vous demande de respecter aussi la m�moire de mes anc�tres, et de ne pas m�priser les � victimes antillaises de l�esclavage �, assist�es ou non. 


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La source de l�info concernant les d�clarations de Mr. FINKIELKRAUT :

http://lesogres.org/article.php3 ?id_article=196

Finkielkraut : �Les Antillais vivent de l�assistance de la m�tropole� ... �Dieudonn� a m�tastas�

mercredi 9 mars 2005 , par Les Ogres

Dimanche 6 mars 2005, dans l��mission "Qui Vive" de 13H30 � 14H00 sur Radio RCJ Radio Communaut� Juive, Alain Finkielkraut a d�clar� : > > "Dieudonn� en a profit� [de l�agression par "trois jeunes juifs"] en > Martinique, mais peut-�tre n�aurait-il pas eu besoin de cela, pour > jouer deux soirs de suite � guichet ferm� devant une foule surexit�e, > voila, et victimes, antillaises, de l�esclavage... qui vivent > aujourd�hui de l�assistance de la m�tropole, mais passons..." > > (Minute 20:47 du fichier audio) > > Les antillais vivent de l�assistance... > > CA MERITE UNE PLAINTE ! > > Alain Finkielkraut d�clare aussi : > > "Dieudonn� est aujourd�hui, en France au moins, pas en Martinique > h�las, mais en France au moins, condamn�. Et cette agression ne > changera pas cet �tat des choses, mais je le disais la semaine > derni�re, il est isol� au moment m�me o� il n�est plus seul, > Dieudonn� n�est plus dans Dieudonn�. Dieudonn� a m�tastas�. Et je > dois dire Dieudonn� a m�tastas� partout." > > (Minute 21:51 du fichier) > > Analogie entre Dieudonn� et une cellulle canc�reuse... On est tous > des cancers... (les sionistes accusaient Dieudonn� avec le "sida du > juda�sme" d�utiliser une rh�torique m�dicale typique de > l�antis�mitisme !) > > Une lectrice du Nouvel Observateur est aussi mise en cause, sa lettre > � Jean Daniel �tant prise pour preuve que "toute une part de la > soci�t� se dieudonnise". > > Ecoutez toute l��mission sur Amadoo.com : > > http://www.amadoo.com/redir.php ?url... > > Voir l�article Amadoo : > > http://www.amadoo.com/article.php ?a... > > La "multi"-radio : Radio J / RCJ / Juda�ques FM / Radio Shalom (selon > les horaires), est un fer de lance du sionisme int�griste en France : > > http://www.radiorcj.info/

2005-03-11 01:21:58 par quelqu'un

Bonjour � vous,

Ci-dessous une info � partager...

MOUVEMENT pour la JUSTICE et la DIGNITE (MJD), France Plurielle horizons 2007 et le COFFAD et toutes les associations qui se sentent concern�es, appellent � une manifestation pacifique le Samedi 12 MARS 2005 � 14 h 30 devant le si�ge de France T�l�visions afin de :

Protester contre les m�thodes utilis�es par un service public associant : d�sinformation, mensonge, racisme, silence complice et mettant � l�index les populations sp�cifiques noire, arabe, musulmane ! Pour m�moire : Affaires du RER D, du bagagiste de Roissy, de AZF (toutes mont�es en �pingle), la femme violemment agress�e � Mulhouse parce que voil�e, le jeune Abdelkader qui est dans un coma profond (affaires �touff�es par les m�dias), Dieudonn� censur� par les m�dias malgr� les d�cisions de justice en sa faveur ! son agression � la Martinique pratiquement pass�e sous silence et annonc�e de mani�re � semer la confusion.

Refuser qu�un service public soit soumis � des groupes de pression

Refuser que les populations vis�es soient la cible d�un racisme � peine voil� !

La France est un Etat de Droit qui permet la libert� de la presse... non son utilisation pour le lynchage des minorit�s !

Rendez vous devant France t�l�visions Samedi 12 MARS 2005 � 14 h 30 sur l�esplanade Henri de France M�tro Balard ou RER C (station Bd Victor) ou Bus 42

mjudi2004@yahoo.fr

SOYONS TOUS CONCERNES !!!

Joby V.

2005-03-10 18:30:42 par taali

Bravo pour ce travail tr�s fouill�. J�etais au courant de beaucoup de choses qui ont �t� dites, mais c��tait en anglais. je vois que �a �t� traduit. tant mieux. excellent travail.

Nous ne sommes pas l� pour stigmatiser la Communaut� Juive, mais l� il fallait absolument r�agir. J�ai lu le dossier du "Nouvelobs" intitul� pompeusement "la verit� sur l�esclavage". En r�alit�, il s�agissait de contre-v�rit�s , c��tait grotesque. L�historien en question se contentait de faire des d�clarations sans fondement !!! Le pire dans tout �a, c�est que le "Nouvelobs " n�ait m�me pas eu l�id�e d�aller recouper ses sources, faire un travail de fond, rencontrer des historiens, des gens qui travaillent sur cette question de l�esclavage depuis des ann�es, au lieu de �a ils ont pr�f�r� aller voir cet historien qui se dit jeune et qui reconnait ne pas tout ma�triser. Le laisser faire des d�clarations aussi p�remptoires sans avoir eu le r�flexe d�aller v�rifier , ce n�est franchement pas s�rieux de la part du Nouvelobs.

Quant � Elkabach, je ne sais m�me pas quoi penser de lui. C�est peut etre la paresse intellectuelle et le parti pris qui l�ont conduit � inviter ce type d�historien "paresseux". Il faut rester vigilant et r�agir � chaque fois que c�est n�cessaire. Il faut que les journalites sachent qu�ils sont surveill�s. Il ne faut pas qu�ils nous prennent pour des cons. Il faudra demander un droit r�ponse ou un d�bat public o� les personnes comp�tentes sur ces th�mes puissent s�expliquer. J�ai �t� tr�s �tonn� dans l�emission d�ElkABACH sur public s�nat de voir qu�il n�y avait aucun Noir alors que l��mission portait sur la Traite des Noirs ! c�est le comble ! c�est vraiment n�importe quoi. Un peu de s�rieux Messieurs Elkabach et les journalistes du Nouvelobs !!! c�est vraiment affligeant.

2005-03-10 16:49:05 par quelqu'un

je suis un n�greactif et le combat pour sortir de l�ombre continu et comme on dit le hasard n�offre se privil�ge qu�aux esprits avertis, un homme averti en vaut deux.un n�gre en vaut deux !!!!!!!! merci africamaat

2005-03-10 12:23:47 par Jungle

Tr�s instructif...... Je me suis d�j� Afriamaatis� et maintenant je me Dieudonnise/L�Union fait la Force.

2005-03-10 10:35:46 par quelqu'un

Je remercie vivement l�auteur de ce texte. Je vous remercie doublement de nous permmetre d�avoir des informations v�ridiques, afin que nous sortions de l�ignorance. Et encore merci de toujours veiller � faire des contres-v�rit�s. N�gr�veil.

2005-03-10 06:45:14 par armel

Simplement magnifique ! Je manque de mot et je suis stup�fait par mon ignorance. Votre expos� monsieur est grandoloquent. Je n�attends plus que l�expos� sur le r�le des arabes dans cette affaire. La v�rit� doit faire jour. Je vous f�licite encore plus parce que votre temps est tr�s courtois et c�est qui manque le plus au panafricain, trop agressif la plupart du temps. J��cris un livre en ce moment dont un chapitre sera consacr� � l�esclavage. M�autoriser vous � reprendre certains �l�ments de votre expos� ?

Armel

2005-03-10 04:44:39 par Peniel

Merci pour toutes ces informations. J�ai pris la peine de chercher sur google.com a propos de la remarque de Moshe Dayan sur les soldats noirs de l�armee americaine. J�ai pu avoir avoir confirmation sur le lien suivant a l�avant avant dernier paragraphe (c�est en anglais mais c�est clair) :

http://www.vho.org/GB/Journals/JHR/2/1/Brandon4-6.html

J�ai meme pu trouver dans l�article du lien ci-dessus la confirmation de vos accusations sur les agissements de la fameuse ADL (Anti-Defamation League). Je ne crois pas que tous les juifs soient comme cela mais c�est toujours bien de savoir qui est qui parmis ces figures publics au travers des paroles qu�ils prononcent. On saura comment les traiter. Merci de nous ouvrir les yeux et je vous souhaite beaucoup de courage dans votre travail.

 

 




(c) A.D.N.